Les caractristique des meilleures femmes de la creation PDF Imprimer Envoyer
Jurisprudence (الفقه) - Femme Musulmane
Écrit par Lakum.free.fr   
Vendredi, 19 Février 2010 19:07





Véritablement, Allah nous a créés pour que nous l’adorions, et il créa toute chose par paire (male et femelle) afin que la vie puisse continuer et que son adoration soit établie. Allah dit :

وَاللَّهُ خَلَقَكُم مِّن تُرَابٍ ثُمَّ مِن نُّطْفَةٍ ثُمَّ جَعَلَكُمْ أَزْوَاجًا



{ Et Allah vous a créé de terre, puis d’une goutte de sperme, Il vous a ensuite établi en couple.} sourate Fatir (35) :11 [2]




Aussi bien l’homme que la femme ont des obligations et des fonctions à remplir, la fonction de chacun étant en harmonie avec celle de l’autre ; Les fonctions de la femme complètent et perfectionnent celles de l’homme, et celles de l’homme complètent et perfectionnent celles de la femme. Parmi les qualités qu’Allah et son messager ont loués, et qui sont attendues de la femme croyante afin qu’elle puisse accomplir son rôle correctement, la plus grande de ces qualités étant de posséder le deen. Le prophète a dit :

« [D’habitude on choisit] la femme qu’on veut épouser pour l’une des quatre raisons suivantes : sa richesse, son rang social, sa beauté ou son [rattachement à la] religion. Il vaut mieux épouser celle [qui se rattache à] la religion. » [3]

Quant à l’époux, il doit aussi être un homme vertueux, comme le prophète l’a dit :

« Si vient à vous celui dont vous agréez la religion et le comportement, alors mariez-le, sinon il y aura des troubles et de la corruption sur terre » [4]


En effet, le prophète a été envoyé pour perfectionner les caractères, et il a fait l’éloge de la femme qui possède ces nobles qualités et ce caractère parfait, déclarant qu’elle est pour un homme la meilleure possession de ce monde.

« La vie est un bien et le meilleur bien de la vie est la femme vertueuse » [5]


Allah a créé la femme comme compagne pour l’homme, dans le but qu’ils vivent dans ce monde accomplissant leurs rôles et observant correctement les commandements d’Allah. Le prophète a dit :

« J’ai été envoyé pour parfaire les caractères » [6] et « Parmi les musulmans, celui dont la foi est la plus parfaite, est celui dont le caractère est excellent, et les meilleurs parmi vous sont ceux qui traitent bien leurs femmes. » [7]

Afin d’obtenir la réussite dans ce bas monde et dans l’au-delà, la femme doit adopter cette méthodologie par laquelle elle perfectionne son caractère, en commençant par les questions concernant le foyer. La femme est une composante essentielle dans la construction d’un foyer établi sur la taqwa (crainte d’Allah & piété).
Allah dit que ceux qui ont la foi disent :

وَالَّذِينَ يَقُولُونَ رَبَّنَا هَبْ لَنَا مِنْ أَزْوَاجِنَا وَذُرِّيَّاتِنَا قُرَّةَ أَعْيُنٍ وَاجْعَلْنَا لِلْمُتَّقِينَ إِمَامًا



« Seigneur, donne-nous en nos épouses et nos descendants, la joie des yeux, et fait de nous un guide pour les pieux. » [8]



Par conséquent, la rectification du foyer est le premier pas vers la rectification de la société.

La femme vertueuse, est celle qui connaît ses responsabilités, ses droits et devoirs, et qui accomplis les actes qui lui ont été rendus obligatoires, le prophète a dit :

« Si la femme pris ses cinq salat quotidiennes, jeune le mois de ramadhan, obéit à son mari et préserve sa chasteté, il lui sera dit : Entre dans le paradis par la porte que tu désires. » [9]

Et il a dit :

« L’islam est bâti sur cinq (piliers) : ‘Le témoignage qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah et que Muhammad est l’envoyé d’Allah, d’accomplir les prières, de s’acquitter de la zakat, le pèlerinage et le jeûne (du mois de ramadhan). »[10]


Ceci est la première des choses dont la femme doit se préoccuper en toutes circonstances ; quel que soit la difficulté, l’aisance, le plaisir ou l’aversion (à accomplir les 5 piliers obligatoires de l’islam). Allah dit, rapporté dans un hadith qudsi : « …il n’y a pas mieux que les obligations que j’ai prescrites pour que l’homme se rapproche de Moi… » [11]

La femme vertueuse doit connaître les droits de son mari sur elle et doit lui obéir dans tout ce qui est obéissance à Allah.
Lorsque Mu’adh vint voir le prophète et voulu se prosterner (comme signe de respect) devant le prophète, il l’arrêta et dit, « Si je devais ordonner à une personne de se prosterner devant une autre, j’aurais ordonné à l’épouse de se prosterner devant son époux » [12]. Cela est dû à la haute position du mari sur sa femme. Il a aussi dit :

« Lorsque l’homme invite sa femme au lit et que celle-ci refuse de venir, les anges restent à la maudire jusqu’au matin. » [13]

Et il dit aussi :

« Par celui qui détient mon âme dans sa main, la femme ne donnera pas son droit à son seigneur tant qu’elle ne donnera pas son droit à son mari. Même s’il l’a sollicite alors qu’elle est en selle (sur un chameau) elle ne se refuse pas à lui. »[14]

Ces ahadith soulignent la grande responsabilité qu’a la femme à obéir à son mari dans tous ce qui est obéissance à Allah, car certainement l’obéissance au mari fait parti de l’obéissance à Allah.
Allah a ordonné à la femme d’être obéissante à son mari et le prophète a vanté les mérites de la femme qui apporte bonheur et plaisir à son mari. Il a dit :

« Epousez la femme affectueuse et féconde, car je veux être la communauté la plus nombreuse le Jour de la résurrection »[15]

Cette catégorie de femme est celle à travers laquelle un homme recevra du bonheur dans son foyer et celle qui élèvera une famille vertueuse. Le prophète a dit :

« chacun d’entre vous est un berger et sera interrogé sur son troupeau…la femme est une bergère dans le foyer de son mari… »[16]

Et Allah a dit :

وَقَرْنَ فِي بُيُوتِكُنَّ وَلَا تَبَرَّجْنَ تَبَرُّجَ الْجَاهِلِيَّةِ



« Et restez dans vos foyers ; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’Islam (jahiliyyah) »[17]




En faisant cela, une femme peut-être aux nombres de ceux qui sont véritablement obéissant à ALLAH.

Il doit être noté que l’obéissance au mari n’est mentionné uniquement que dans le bien, c’est à dire dans ce qui est conforme à la shari’ah (loi) d’Allah. Ainsi, s’il lui ordonne de prier, jeûner, et prendre soin du foyer, alors cela n’est que du bien, et elle doit lui obéir en cela.. Par contre, s’il lui ordonne la désobéissance à Allah, alors « Il n’y a d’obéissance à la créature quand cela implique une désobéissance au créateur »[18]. Alors s’il lui ordonne d’être négligente dans ses prières ou dans son jeûne ou s’il souhaite qu’elle s’embellisse d’une manière qui n’est pas permise ou de quitter la maison en étant parfumée etc…à ce moment là, elle ne doit pas lui obéir en cela car c’est une désobéissance à Allah. Le prophète a dit :

« Pas d’obéissance dans le mal, l’obéissance est prescrite que dans le bien »[19]

La femme vertueuse doit prendre soin de préserver sa personne ainsi que son honneur. Allah fit l’éloge de Maryam la mère d’’Issa, car elle possédait cette excellente qualité qu’est la chasteté. De cette protection de la chasteté découle beaucoup d’autres questions.

1) Baisser le regard. Allah a ordonné aussi bien à l’homme qu’à la femme de baisser le regard et de préserver leurs parties intimes.[20]

2) Ne pas quitter la maison en étant parfumé ou en révélant ses ornements. Allah a ordonné à la femme de se couvrir afin de protéger son honneur et sa chasteté. C’est une pratique de la jaahiliyah(l’ignorance pré-islamique) que la femme sorte découverte, et ils considèrent cela comme du progrès et de la libération ! Plutôt, cela fait parties des stratagèmes de shaytaan.
Allah mentionne dans le qur’an que lorsque shaytaan tenta Adam et Hawwa, et qu’ils mangèrent de l’arbre, leurs parties intimes leur apparurent [21]. Ainsi, la méthode de shaytaan est de rendre apparente et d ‘exposer la ‘awrah.
Toute société dans laquelle l’étalage flagrant des parties intimes des gens est prolifique, est une mauvaise société qui se trouve sur le sentier de la destruction. Le prophète a dit, « Toute femme qui se parfume puis sort de chez elle en passant par un groupe pour qu’ils sentent son parfum, est une fornicatrice »[22]


La femme vertueuse ne doit pas être de celles qui se plaignent (insatisfaites) et sont hargneuses, au contraire, elle doit être celle qui apporte le bonheur dans le foyer.
Nous pouvons prendre un exemple de l’histoire d’Ibrahim, lorsqu’il laissa sa femme, Haajar, à Makkah. Haajar lui dit : « Qui t’a ordonné de faire cela ? » Ibrahim lui répondit « en vérité, mon seigneur m’a ordonné de faire cela ». Alors elle dit, « si ceci est l’ordre d’Allah, alors Allah ne nous abandonnera pas ».
Un autre exemple peut-être pris de l’histoire d’Isma’il et sa femme.

Ibrahim continua de rendre visite à Haajar et son fils Isma’il, jusqu’à ce que son fils Isma’il ait grandi et se maria, il lui rendit visite chez lui à Makkah. Il frappa à la porte et ne trouva pas Isma’il chez lui. Sa femme était présente mais elle ne reconnut pas le père de son mari. Ibrahim commença à la questionner sur sa situation lui demandant si oui ou non elle était satisfaite etc. Elle répondit qu’ils étaient dans une période de grande pauvreté et d’épreuves, et elle se mit à se plaindre de sa situation. Alors Ibrahim lui dit, « quand Isma’il reviendra dit lui de changer le seuil de sa porte". Ainsi, quand Isma’il revint, sa femme lui fit part qu’un vieil homme était venu lui rendre visite pendant son absence, qu’il l’interrogea sur sa situation, à quoi elle répondit comme elle le fit. Puis elle lui transmis le message qu’Ibrahim avait laissé. Isma’il dit alors à sa femme, « En réalité, c’était mon père et il m’ordonne de me séparer de toi ». Alors il l’a divorça et maria une autre femme.

Quelques temps plus tard, Ibrahim revint rendre visite à son fils et le trouva de nouveau absent. Alors il interrogea la nouvelle épouse d’Isma’il sur sa situation lui demandant si elle était satisfaite ou pas. Elle répondit, « Al hamdullillah, Allah nous a donné de grands bienfaits et nous a donné tout ce dont nous avons besoin », bien qu’à ce moment là, elle n’avait absolument rien à la maison. Donc Ibrahim lui dit avant de partir, « Dis à Isma’il de maintenir le seuil de sa porte ». Quand Isma’il rentra, sa femme l’informa au sujet de son visiteur et de ce qu’il avait dit. Isma’il dit, « C’était mon père et il m’a dit de te garder comme épouse ».[23]

Observe, comme Ibrahim, cet illustre prophète d’Allah, a décrit la femme. Cela car elle est la gardienne et aussi celle qui protége la maison et les affaires s’y rapportant. Quiconque entre dans la maison le fait avec sa permission et à sa connaissance. Les shayateen souhaitent que les femmes quittent leurs maisons en étant embellies, laissant derrière elles leurs vêtements, de cette façon, lorsque les gens ont pris plaisir d’elles, ils se détournent d’elles comme si elles n’étaient rien. Plutôt, la femme est tel que la décrite Ibrahim, étant donné que c’est elle qui s’occupe des affaires du foyer.
Un poète dit une fois, « La mère est (comme) l’école, si tu prends soin de la mère, tu prends soin de toute la société ». Le prophète a dit :

« Ô femmes ! Faîtes la charité, car j’ai vu que la plupart des habitants de l’enfer sont des femmes. Une femme sage parmi elle lui demanda, ‘Et pour quelle raison ô! messager d’Allah ?’ Il répondit : car vous jurez fréquemment et vous êtes ingrates envers vos maris. Si l’une d’entre vous a un mari qui manifeste de la bienveillance envers elle durant toute sa vie puis un jour vous constatez quelque chose qui ne vous plaît pas alors vous dîtes : ‘Il n’a jamais été bon avec moi. »[24]

Ainsi, en tant que la compagne intime de son mari, la femme doit s’assurer de prendre soin de ces questions, car si elle est bienveillante et vertueuse, à ce moment là, la société tout entière devient bonne. Mais s’il y a des conflits et des disputes au sein du foyer, alors cela mène à la destruction de la société.

Dans le qur’an, Allah mentionne quelques exemples de vertu de femmes. Il conta l’histoire de quatre femmes, deux d’entre elles étaient vertueuses et deux d’entre elles étaient mauvaises. Concernant les femmes vertueuses, il s’agit de la femme de fir’awn et de Maryam la fille d’Imran.

Lorsque la femme de fir’awn vit Moussa dans le berceau, ses yeux étaient pleins d’amour pour lui. Elle dit à fir’awn, « (cet enfant) réjouira mon œil et le tien ! ne le tuez pas. Il pourrait nous être utile ou le prendrions-nous pour enfant »[25]. Alors il (fir’awn) exauça son souhait et Moussa grandit dans son (la femme de fir’awn) foyer.
Quand il devint un prophète et commença à appeler les gens à l’islam, elle répondit à son appel et devint musulmane, malgré le fait qu’elle était la femme de fir’awn – l’homme qui prétendait être Allah en personne. Et malgré tout ce qu’elle possédait du fait qu’elle était la femme d’un roi ; elle refusa cela et choisit la compagnie d’ALLAH.
Ceci est un excellent exemple montrant comment une femme choisit l’au-delà sur et au-dessus de toutes les richesses de ce bas monde.

L’exemple de Maryam bint ‘Imran fut qu’elle préserva sa personne et ses parties intimes d’une façon qui nous montre la grande importance à ce que la femme soit chaste et qu’elle ne sorte pas de la maison découverte, etc.[26]

Le premier exemple des deux mauvaises femmes est celui de la femme de Nuh. Elle allait aux gens et leur parlait de Nuh, révélant ce qu’il faisait et ce qu’il projetait, s’activant et complotant contre son mari.

Et l’exemple de la femme de Lut est similaire. Quand les deux anges vinrent à Lut, elle informa son peuple que deux jeunes hommes étaient venus chez elle, alors les gens arrivèrent, essayant de leur nuire.[27]

L’islam a interdit que les secrets du foyer soient divulgués à l’extérieur, et ces deux exemples montrent le mal de cette action. Par conséquent, l’exemple de la femme bienveillante est celle qui est rapide à accomplir de bonnes actions, elle préserve ses parties intimes et ne propage pas les secrets du foyer. Elle est de celles qui appellent au bien, et qui ferment les portes qui mènent au mal.

De la sunnah, nous avons l’exemple d’Umm Salamah – la femme du prophète , la mère des croyants. Elle était une femme de grande intelligence et de bonne appréciation.
Lorsque le prophète partit faire la ‘umrah en l’an 6 hijri, les quraish l’en empêchèrent et lui firent faire marche arrière. Il dit à ses compagnons, qui étaient vêtu de l’ihram prêt pour la ‘umrah, de couper leurs cheveux et de sacrifier leurs animaux. Ils étaient stupéfiés et hésitant à le faire. Il leur ordonna une nouvelle fois et ils n’exécutèrent toujours pas son ordre. Le prophète entra dans la tente d’Umm Salamah, mécontent et contrarié par ce qui venait de se passer, et il lui dit qu’il avait donné l’ordre à ses compagnons de raser leurs têtes et d’égorger leurs animaux, mais qu’ils n’en firent rien. Umm Salamah dit alors : « rends-toi au milieu de tes compagnons, coupe tes cheveux et égorge ta bête. Ils suivront ton exemple ». Alors c’est ce qu’il fit, et ils suivirent tous son exemple.

Regarde la grande intelligence et la bonne appréciation de cette noble dame, comment elle conseilla le messager d’Allah ; effaçant ainsi son chagrin et son inquiétude. De même, la femme vertueuse conseille son mari dans tout ce qui est bien et ôtera de lui l’angoisse et les causes de soucis.

Un autre exemple de vertu de femme prit de la sunnah, est celui d’Umm Saleem – la femme d’Abu Talhah .
Abu Talhah était un mécréant lorsqu’il vint à Umm Saleem lui demander sa main en mariage. Elle refusa, disant « je ne t’épouserai que si tu deviens musulman ». Alors il embrassa l’islam et elle fit de son islam son mahr (dote). Ils furent bénis d’un fils qui s’appelait Abu ’Umayr. Il était très aimé d’Abu Talhah, mais néanmoins après quelques années il mourut.
Alors lorsque Abu Talhah retrouva sa femme et lui demanda « comment va Abu ‘Umayr ? » elle lui répondit en disant « il est dans la meilleure des situations ».
Puis, elle se fit belle pour son mari et après qu’il eut joui d’elle, elle dit : « Que penses-tu de gens qui confis leur bien a d’autres gens afin qu’il le leur garde, puis revienne un jour demander que leur bien leur soit rendu, penses-tu qu’ils ont le droit de le faire ? » Abu Talhah répondit « bien sûr », alors Umm Saleem dit « en réalité, Allah a reprit son bien ». A cela, Abu Talhah se mit très en colère et dit « tu as fais tout cela et ensuite tu m’as annoncé la nouvelle au sujet de mon fils ? ». Alors il partit voir le prophète et lui raconta ce qui s’était passé. Le prophète dit « Qu’Allah vous bénisse cette nuit et la relation que vous y eurent ».
Il leur fut accordé un fils de cette même nuit et son nom était Abdullah.
Abdullah eut neuf fils, dont tous mémorisèrent le qur’an. Ceci fut la réponse à la du’a du prophète .

Une fois, le prophète eut un hôte, il dit alors à ses compagnons « qui s’occupera de mon hôte ce soir ? » l’un des ansar dit « je le ferais, ô! messager d’Allah ». Alors il partit chez lui et dit à sa femme « qu’avons-nous à manger ? » Elle répondit « nous n’avons de la nourriture que pour nos enfants » il lui dit « fait dormir les enfants pendant qu’ils ont faim. Quand l’hôte du prophète arrivera, sert lui la nourriture, éteint la lampe et fait semblant de manger afin qu’il ne se rende pas compte que nous ne sommes pas en train de manger ». Elle obéit ainsi à son mari. L’hôte retourna trouver le prophète et lui dit ce que l’ansari et sa femme avaient fait. Quand l’ansari alla voir le prophète le jour suivant, il lui dit « Allah est étonné de ce que tu as fait hier vis à vis de ton invité. Et Allah révéla l’ayah { …ceux qui, avant eux, se sont installés dans le pays et la foi, qui aiment ceux qui émigrent vers eux, e ne ressentent dans leur cœur aucune envie pour ce que [ces immigrés] ont reçu, et qui [les] préfèrent à eux-mêmes, même s’il y a pénurie chez eux…} [28]


Ce qui précéda donc, sont des exemples illustrant comment une femme peut être parmi les plus honorables et les meilleurs de la création, et en conséquence obtenir le paradis. Qu’Allah nous compte au nombre de ses gens. Ameen.



Annotation :


2. Suratu-Fatir (35) :11
3. Bukharee
4. Tirmidhee ; Nasa’i & Ibn Majah
5. Saheehul-Jami’ 3407
6. Al-Muwatta Imaam Maalik
7. Tirmidhee
8. Suratul-Furqaan (25):74
9. Saheehul-Jami’ 674
10. Bukharee
11. Bukharee
12. Tirmidhee
13. Bukharee & Muslim
14. Ibn Majah & Ahmad
15. Abu Daawood & Nasa’I
16. Bukharee
17. Suratul-Ahzab (33):33
18. Rapporté par Al-Baghawee dans Sharhus-Sunnah 10:44
19. Bukharee
20. Suratu-Nur (24) :30 :31
21. Suratu-Taha (20) :121
22. Tirmidhee, Abu Dawood & Nasa’i
23. Bukharee
24. Muslim
25. Suratul-Qasas (28):9
26. Voir Suratu-Maryam (19):16
27. Voir Suratu-Tahrim (66) :10
28. Suratul-Hashr (59) :9



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http://www.calgaryislam.com/imembers/modules/xFPDF/cache/Sections193.pdf


pour les arabophones : المرأة الحرة وطريقها الى الجنة

Mise à jour le Vendredi, 19 Février 2010 19:22